Maman tu est partie
Mais ton depart est à moi
À moi toute seule…
Ceux qui viennet qui m’entourent
Paraît il que des amis,
Me regardent
En attendant me voir triste,
Je n´en suis (pas).
Mes larmes à líntérieur
Trempent de l`indifférence
L´apparence
Je me sens comme un tuyau
Vide
Par lequel je m’en fuis.
Et quand ils croient me voir
Ne voient qu’une sèche croute
De ma presence je m´en doute
Je n’y suis, pas, n´y suis pas.
Je te cherche en moi
Et te trouve comme toujours
De mil images vivante
Jeune d’âme en me donnant
La gran force pour te suivre
Pour revenir du profond
À l’extérieur chaque jour
Voir qu’on me regarde
Encore.